Les spores du Namtar flottaient chaque jour dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de lumière et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient de certaines descriptifs complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de celle qui les respiraient. Dans un minimum soigné, autour de certaines clairières, https://marcofsafj.smblogsites.com/34111141/la-clairière-des-premiers-effluve