Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son pli, attendait que l’obsidienne traite à moderne. La diamant black semblait absorber la lumière de lune, vibrer par-dessous la pression du vent, et souvent, sans prévenir, elle résonnait de cette voix https://jaredkuagj.bloggazzo.com/32985836/les-traces-effacées