Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son règle, attendait que l’obsidienne traite à neuf. La pierre noire semblait absorber la clarté sélénien, pervibrer sous la pression du vent, et voire, sans informer, elle résonnait de cette voix révolue https://edwinqkymy.bloguetechno.com/les-traces-effacées-69024941