L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une lumière pâle. Les ombres de l'obscurité s’effaçaient filet à brin, mais sur le papier de riz, d’autres ombres persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea mesure son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs poésie https://sergiotafhj.mybuzzblog.com/13610233/le-dernier-mémoire