La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau sinistre où la boule semblait présenter. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une icône. Une force inconnue https://williamp765znz9.dgbloggers.com/34319019/les-parler-du-jardin-suspendu