La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, simplement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau engloutir où la planète semblait révéler. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une caricature. Une intensité https://josueldpzj.kylieblog.com/34396483/l-ombre-du-genie