Le vent hurlait par les hautes nevers de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de composition, un moine s’éclairait à la illumination vacillante d’une chandelle. La pognon était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://waylondyunj.anchor-blog.com/14129307/le-bout-de-la-destinee