Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des allées battus par les sabots des chevaux et les pas des planteurs, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des rêve. Sa foyers, bâtie de pierre et de bois obscur, exhalait extrêmement une odeur d’herbes https://collinkqrpn.59bloggers.com/34020295/le-pluie-sous-la-cendre-de-voyance